Exacerbation des inégalités, crise écologique, restrictions des droits sociaux et démocratiques, multiplication des conflits territoriaux et montée des extrême-droites… Ces dernières années ont été marquées par une accélération des violences faites aux peuples. C’est le fruit de la sécession des plus riches, les 1% qui possèdent plus que les 99% restants, qui s’appuient sur les grands systèmes de domination, de classe, de race et de genre, pour maintenir un régime général des inégalités. Exploitations, racisme, sexisme… sont les différentes armes d’un libéralisme autoritaire au point de s’accommoder des hypothèses fascistes.
Face à ce monde inégalitaire et au danger de l’extrême-droite, porter un projet de rupture est indispensable.
Le syndicalisme doit, plus que jamais, poursuivre sa double besogne. L’École Émancipée et ses militant·es se battent au quotidien pour la défense et l’amélioration immédiate des conditions de travail des personnels. Mais sans oublier non plus la construction d’un autre projet de société. Ce dernier doit penser un commun, articulant revendications écologiques, justice sociale et lutte contre tous les systèmes de domination.
Voter École Émancipée et hors tendance, c’est contribuer, par les luttes et les débats, aux prises de conscience nécessaires pour bifurquer vers une société égalitaire et émancipatrice, à même de trouver des solutions aux enjeux sociaux et climatiques.