Du 04/11 au 25/11, VOTONS ÉCOLE ÉMANCIPÉE – MIEUX VIVRE LE TRAVAIL AU SERVICE DES COMMUNS

Les politiques destructrices dans la santé, l’éducation, la culture, l’énergie, etc. s’accélèrent, malgré leur rôle essentiel mis en avant lors de la crise sanitaire. La protection sociale est aussi en danger.
La loi TFP généralise le recours aux contractuel·les. Ils et elles subissent l’insécurité de l’emploi qui les met sous pression permanente des administrations. Les accompagnant·es des élèves en situation de handicap subissent une précarité institutionnalisée.
Alors que les agent·es de la FP perdent du pouvoir d’achat depuis 2010 en raison de la stagnation de la valeur du point d’indice quand l’inflation cumulée s’élève à 13,4%, le gouvernement maintient ses choix idéologiques guidés par l’individualisation des rémunérations. La FSU s’oppose – et l’École Émancipée n’y est pas pour rien – à ce refus d’augmenter la valeur du point d’indice, la seule à même de bénéficier à l’ensemble des agent·es, et à la multiplication des indemnités, liée à un management au mérite au détriment d’un renforcement des collectifs de travail.
Or une société juste, solidaire, protectrice des plus vulnérables se construit par une protection sociale de haut niveau pour toutes et tous, et des services publics de qualité et de proximité, répondant aux besoins de l’intérêt général et donc soustraits au marché et mis en œuvre par des personnels qualifiés et sous statut, échappant ainsi aux pressions.