Danger fasciste et responsabilité des politiques menées par le gouvernement dans la montée en puissance des idées de l’extrême-droite

Cédric Peignot (Montpellier)

En appui à une demande d’ajouter au paragraphe 006 de l’introduction. Demande en grande partie satisfaite.

« Nous souhaitons que soit transcrite de manière plus explicite la responsabilité que porte la politique du gouvernement dans ce processus de montée en puissance des idéologies fascistes.
On le sait, la Macronie a choisi de jouer avec le feu.
Elle a adopté la stratégie risquée du pompier pyromane. Elle a attisé les braises des foyers réactionnaires : en menant des politiques qui contribuent à stigmatiser les populations musulmanes, en votant une loi immigration directement inspirée des programmes du Rassemblement National, en remettant en cause le droit du sol…
Mais elle a aussi allumé de nouveaux foyers :
En menant des politiques de criminalisation des luttes citoyennes et écologistes, et en soutenant au contraire un modèle agroindustriel capitaliste qui accapare les ressources en eau, détruit la biodiversité et remet en cause notre sécurité alimentaire.
Et aujourd’hui :
C’est dans nos écoles que le feu couve. Puisque derrière la formule promotionnelle du « choc des savoirs » se cache en réalité une politique choquante de tri social qui n’a d’autre ambition que d’enrichir l’enseignement privé en saccageant l’école publique et qui humilie les plus pauvres en leur demandant de renoncer à l’égalité des chances et au droit à une éducation digne.
Toutes ces mesures, ce sont celles portées par le pouvoir en place.