La loi votée le 2 août n’a pas pour but d’améliorer le service rendu aux usagers des transports mais de restreindre le droit de grève des salariés. A travers des obligations nouvelles, l’objectif est de casser la dynamique propre à un mouvement de grève, pour limiter les résistances collectives aux mesures antisociales. C’est ce que nous dit Christian Mahieux, secrétaire général de SUD-Rail…