La presse est versatile. Après avoir cru à la reprise pendant quelques semaines, multipliant les coups de projecteurs sur les « bonnes » nouvelles, elle repart, en ce début du mois de mai – une conséquence des grandes manifestations du 1er Mai montrant une combativité sauvegardée des salariés ? – vers les « mauvaises » nouvelles. Une manière de contourner les causes de la crise et d’éviter les questions qui fâchent.