Amandine Laciak-Nowak (Amiens)
La journée d’hier n’était pas à la hauteur de nos ambitions. Elle nous montre une chose, les collègues sont dans l’attente d’un mot d’ordre national. Les différents plans d’action proposés ne pourront fonctionner qu’avec un soutien de la section nationale. Il y a une perte de foi envers les syndicats à cause d’un sentiment d’accumulation de défaites et d’un national trop hésitant.
Le 93 a montré une mobilisation qui devrait nous inspirer. L’écho de cette mobilisation doit se faire grâce au national. Il doit impérativement servir de relai dans cette lutte.
Sur le site national du SNES, nous devons faire apparaître un onglet « mobilisation ». Sur les sites de S2 et S3, ce sont des onglets qui sont beaucoup consultés. Nous pouvons commencer par les actions menées dans le 93 et la construction de leur mobilisation. Comme pour les E3C, il faut recenser les actions locales également. Tout cela doit apparaître dans un onglet facilement accessible aux collègues. Dans un souci d’efficacité, pour les militants, une tuile de l’espace adhérent doit apparaître pour remonter les actions locales.
Il semble également nécessaire de compléter nos moyens de communications par des outils plus actuels (live, vidéo petit format…) afin d’occuper tous les espaces possibles.
A l’issue de ce congrès doit apparaître à tous les collègues un plan d’action clair. Le poids du congrès permettra de redonner de la force et du courage aux militantes et militants.