L’annonce par Sarkozy d’un recrutement niveau master a fait dans beaucoup d’IUFM l’effet d’un coup de tonnerre. Il y avait de quoi s’inquiéter sur les conditions d’intégration des IUFM dans les universités. Vu le contexte (RGPP, rapport Silicani), les concours étaient déjà ouvertement menacés. D’autres déclarations (de guerre !) ont suivi, notamment sur une première année à temps plein dans le métier avec pour seule aide un « compagnonnage intensif », le risque d’un décrochage des formations premier et second degré.