Edito. Si le climat était une banque, ils l’auraient déjà sauvé…
L’année 2009 s’est terminée sur le fiasco fracassant du sommet de Copenhague.
Cet échec est tout un symbole. Un symbole de la brutalité d’un système soumis aux intérêts d’une élite, au mépris de l’avenir de la planète, des peuples, des droits humains et sociaux. Un symbole aussi de la faiblesse d’un mouvement capable de construire et d’imposer des alternatives…