Le calendrier de mobilisation dans l’éducation est très riche, le 1er février contre la sélection à l’Université, Le 6 février à l’initiative du SNES contre la casse du bac et les suppressions de postes en cette période de DHG et le 7 février comme temps fort fédéral ponctuant un calendrier élargi au cours duquel un préavis de grève national du SNUipp sur cette période permet à ses sections de mobiliser localement.
Ce calendrier fait déjà parler de lui car les expressions récentes du SNES sur les réformes actuelles interpelle médiatiquement, en tout cas sur le web et les réseaux sociaux.
Aussi il nous faudra montrer la logique d’ensemble du projet éducatif de J.M. Blanquer (Véronique P. est intervenue sur le sujet, je n’y reviens pas).
Cela nous permettra d’impacter la période plus fortement si nous sommes capables d’agir fortement sur ces dates. Frédérique Rolet en a aussi parlé.
C’est pourquoi il nous faudra nous soucier fédéralement de la place successive de ces dates pour que les appels n’apparaissent pas épars mais coordonnés. La volonté est visible dans les interventions ce matin de coordonner tout cela, il nous sera nécessaire de le concrétiser.
C’est un moyen de faire entrer les personnels, les élèves et les étudiant-es dans l’action à un ou plusieurs moments qui leur apparaissent opportuns mais aussi de traverser le barrage médiatique que subissent celles et ceux qui osent contester les mesures prises récemment et sur lesquelles la majorité des médias cultive les éléments de langage du gouvernement, cela fut particulièrement patent lors de l’annonce de « ParcoursSup ».