Le 22 octobre, les enseignants sont appelés à lire à leurs élèves la « lettre de Guy Môquet », lettre d’adieu écrite en 1941 pour sa mère le jour même de son exécution. Cette mesure annoncée par Sarkozy dès le jour de son investiture s’appuie sur la sympathie suscitée par l’évocation de Guy Môquet, victime de la barbarie nazie et dont les convictions communistes semblent démentir par avance toute tentative d’instrumentalisation.